« Brocloud, c’est l’hébergeur web, cloud, télécom qui porte en lui les valeurs d’un service qualitatif et humain. Une association où de petites mains humaines sont proposées en ligne pour réaliser des services digitaux.
Vous passez commande en ligne pour un nom de domaine et un espace de stockage sur le web ? Vous recevez vos accès de manière automatique sous 30 secondes. Vous souhaitez un service plus personnalisé, ou faire réaliser un site, un logiciel, une application ? On convient d’un échange pour relever le défi avec vous. Quel défi ? D’abord celui du prix, en proposant des prestations à moindres coûts, et ensuite celui de taper dans le mille : faire de votre vague idée une chose concrète et très qualitative, qui honorera votre projet.
Créer une entreprise ou créer une association, c’est poursuivre des buts bien différents. À la différence d’une entreprise, l’association est à but non lucratif. C’est à dire qu’elle ne recherche pas le profit. Cependant, cela ne l’empêche pas de pourvoir exercer des activités commerciales, et c’est tout l’intérêt qu’on trouve en tant que bénévoles : on fait ce qu’on aime.
Brocloud, c’est un projet qui jusqu’à présent fonctionne parce qu’il est ancré dans une démarche profondément humaine. Bien qu’on ait pour projet de rendre plus singulière l’équipe en nous donnant la possibilité de nous réunir dans des bureaux (ce que je trouve très important pour la cohésion et la communication), on a une équipe de jeunes adultes répartis aux quatre coins de la France, et on tourne cette limite en avantage. Chacun, peu importe qu’il ait ou non une charge de travail importante, est volontaire et intéressé, et s’adapte à l’organisation interne qui évolue constamment. Grâce à ces atouts qu’on retrouve chez tout le monde, on se trouve dans un cadre déjà prompt à travailler dans des conditions qu’on dira tout de même « optimales ».
Certains nous disent que le statut associatif est une limite. Moi, aujourd’hui, je le vois comme un atout essentiel. Une association favorise l’égalité et nécessite du volontariat. Nous sommes tous bénévoles, les membres de la direction y compris. Si l’objectif était de gagner de l’argent, j’aurais consacré tout mon temps à mes études, pour trouver un travail qui me rapporte. Au lieu de ça, je dédie un nombre incalculable d’heures pour mon association, tout en m’assurant que ce n’est qu’un passe-temps et non un pari pour ma vie active future.
Une des choses les plus gratifiantes dans ce cas de figure, c’est de me dire que tout ce qui se réalise chez nous est le fruit d’une passion qui ne triche pas, et surtout, qui ne tombe pas dans l’addiction à la productivité (qui motiverait à mieux gagner par exemple). Le modèle est simple : lorsqu’on vend un service, personne ne touche d’argent, tout revient à la structure. Ensuite, on réinjecte ces bénéfices pour nos machines, nos licences, mais aussi pour mettre en place toutes les nouveautés qu’on a à cœur de préparer constamment. On peut ainsi fournir une qualité de service particulièrement élevée, grâce à cet argent, et imaginer quelles nouveautés on aura à cœur de mettre en place pour nos clients. C’est l’antonyme du cercle vicieux. On dit qu’on fait bien les choses quand on aime les faire, et ici on travaille justement parce ça nous apporte de nombreux avantages : de l’expérience professionnelle, des compétences commerciales et techniques, mais aussi et surtout une cohésion d’équipe, avec des collègues qui sont finalement nos amis. Quoi de mieux ?
On a donc tous les avantages d’un passe-temps constructif, utile, agréable et professionnalisant, et tout cela dans un cadre qui favorise la liberté, le choix et le partage de connaissances, qu’on peut d’ailleurs immédiatement mettre en pratique. Quant aux difficultés de l’activité, ce sont des défis qu’on joue à relever. »